La nature semble disparaître, comme des grains de sable emportés par le vent du désert. Le regard de Théodore Monod sur le moindre élément vivant nous rappelle la force de la vie qui nous dépasse.

Dans les années 50, accompagné de deux soldats marocains et de cinq chameaux, il parcourt pendant vingt-deux jours une région presque déserte, mais pleine de vie et de traces : antilopes, fennecs, insectes… et vestiges du Néolithique, comme des vertèbres de poisson, témoins d’un autre destin du désert.

Naturaliste humaniste, pacifiste et écologiste engagé, admirateur d’Albert Schweitzer, Monod nous invite à ouvrir nos horizons au-delà de nos petites représentations de la vie.

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